Le 31e Salon du livre de Paris s’est tenu du 18 au 21 mars, toujours au Parc des expositions de la Porte de Versailles. Cette édition, ramassée sur quatre journées au lieu de six, a attiré près de 180.000 personnes contre 190.000 visiteurs l’an passé. Le salon 2011 était en outre structuré autour de 5 grandes thématiques : "les Lettres nordiques à l’honneur", "Spécial suspense", "Buenos Aires : capitale mondiale du livre", "2011 année des Outre-mer" et "Serial lecteurs".
Avec les "Lettres nordiques à l’honneur" (romans, polars, essais, poésie, livres jeunesse et BD), ce sont 40 auteurs du Danemark, de Finlande, d’Islande, de Norvège et de Suède qui ont fait le déplacement pour aider à mieux explorer une littérature qui fait l’objet d’un engouement indéniable.
"Spécial suspense" a fait, quant à elle, la part belle au roman noir, avec des rencontres, débats, projections, expositions et séances de signature. L’un des clous tenait à la venue de Henning Mankell, le maître du polar suédois, avec 30 millions d’exemplaires vendus dans le monde des enquêtes du commissaire Kurt Wallander. Pourtant, en publiant L’Homme inquiet, neuvième épisode de la série paru en septembre dernier, l’auteur a bel et bien mis fin aux aventures de cet enquêteur "assez misogyne, désenchanté, et même dépressif", populaire aussi bien en France, qu’au Japon, en Algérie ou en Argentine. La série des Wallander, rappelle cependant l’écrivain et dramaturge, ne représente que le quart de sa production littéraire.
Parmi les nouveautés de cette édition qui consiste à explorer une grande ville littéraire, à travers l’imaginaire de ses auteurs, le salon invitait à découvrir "Buenos Aires", ville de Jorge Luis Borges, Ernesto Sábato, Adolfo Bioy Casares et de Julio Cortázar, élue Capitale mondiale du livre 2011 par l’Unesco en reconnaissance de sa politique de la lecture.
Adossé à "2011 année des Outre-mer", le salon proposait un coup de projecteur sur des auteurs et éditeurs ultra-marins, ces "acteurs majeurs du rayonnement de la culture française dans le monde", selon les organisateurs. L’ouverture du salon a été couplée avec un hommage à Édouard Glissant, décédé le 3 février dernier, en présence de poètes, journalistes, artistes et proches de l’écrivain martiniquais.
Mise en place par l’Institut français (anciennement Cultures France) "afin de mieux partager la richesse de ces cultures et de valoriser l’édition francophone du Sud", avec Haïti à l’honneur, La Librairie du Sud accueillait une centaine d’auteurs et présentait un fonds de quelque 2.000 ouvrages (littérature, sciences humaines, jeunesse, beaux-livres...) d’éditeurs français, mais aussi d’Afrique et de la Caraïbe.
A travers les succès en librairie de Millenium, le best-seller de Stieg Larsson, ou la saga Twilight de Stephenie Meyer, "Serial lecteurs" invitait, pour sa part, à se pencher sur le phénomène des livres en série qui réussissent à fidéliser un si grand bon nombre de lecteurs.
Avec 2000 auteurs, 3000 séances de dédicaces, 600 débats répartis sur 40.000 m², les organisateurs ont introduit quelques nouveautés comme un rendez-vous professionnel consacré pour la première fois à la traduction, une matinée réservée aux professionnels et un coût de location des stands réduit de près de 17 %. 850 éditeurs étaient ainsi présents pour célébrer le livre sous toutes ses formes puisque, pour la 4e année consécutive, le salon proposait un espace consacré à l’édition numérique et à la lecture sur supports mobiles (tablettes, liseuses, smartphones ou consoles portables). Malgré des ventes encore marginales en France, ce marché, où il faut tout inventer, est l’objet de toutes les attentions.
Côté BD, outre l’invitation lancée à Qino (Mafalda) et à Zep (Titeuf), on pouvait y découvrir une exposition de dessins et peintures originales consacrée au dessinateur et coloriste Grzegorz Rosinski et à son viking Thorgal ou encore la collection des grands classiques d’Agatha Christie en BD. Au chapitre mangas, après Tōru Fujisawa en 2008 (Pika Editions) et Atsushi Ōkubo (Kurokawa) en 2009, le salon accueilli le mangaka Motorô Mase venu présenter Préavis de Mort, le 8e volume de son polar d’anticipation Ikigami (ed. Kazé Manga).
Cette année, les enfants ont encore eu droit à 14.000 chèques Lire de 7 euros offerts par le Centre national du livre (CNL) et les seniors à une entrée gratuite le lundi après-midi. Comme à chaque édition, le salon était l’occasion de nombreuses rencontres littéraires, de débats, de projections, d’expositions et de séances de signatures où l’on pouvait croiser R. J. Ellory, Ian McEwan, Per Olov Enquist, Nancy Huston ou Sofi Oksanen. Le 18 mars, en compagnie d’éditeurs et de libraires du Maghreb et d’Egypte, une rencontre a eu lieu sur le thème de "Maghreb : une nouvelle ère pour le livre ?".
Le 32e Salon du livre de Paris se tiendra du 16 au 19 mars 2012.
– Nora Aceval, Contes libertins du Maghreb (Neuilly, Al Manar, 2010)
– El-Mahdi Acherchour, Moineau (Croissy-Beaubourg, Aden, 2010)
– Kaouther Adimi, Chawki Amari, Habib Ayyoub, Hajar Bali, Kamel Daoud, Ali Malek, Sid Ahmed Semiane. Photographies de Nasser Medjkane et Sid Ahmed Semiane, Alger, quand la ville dort (Alger, Barzakh, 2010)
– Kaouther Adimi, Des ballerines de Papicha (Alger, Barzakh, 2010)
– Younès Adli, Les Efforts de préservation de la pensée kabyle aux XVIIIe et XIXe siècles (Tizi Ouzou, L’Odyssée, 2010)
– Lounis Aggoun, La Colonisation française en Algérie. 200 ans d’inavouable (Paris, Demi-Lune, 2010)
– Mohamed Aissaoui, L’Affaire de l’esclave Furcy (Paris, Gallimard, 2010)
– Arezki Aït Larbi (Coordonné par), Avril 80. Insurgés et officiels du pouvoir racontent le Printemps berbère, avec la collaboration de Abdelhak Bererhi - Salem Chaker, Ihsen El Kadi, Hassen Hirèche, El Hadi Khédiri, Saïd Khelil, Ferhat Méhenni, Mouloud Lounaouci, Méziane Ourad, Mohand Waâmar Ousalem, Hamid Sidi Said, Aziz Tari (Alger, Koukou, 2010)
– Karin Albou, La Grande Fête (Paris, Jacqueline Chambon, 2010)
– Abdelkader Alloula, Œuvres complètes (Théâtre en arabe), Vol. 1 : El-Aaleg, El-Khobza, Hammam Rabi | Vol. 2 : El-Agoual, El-Adjouad, El-Litham | Vol. 3 : Homk Salim d’après le Journal d’un fou de Nicolas Gogol, Nesin oua Salatine d’après des nouvelles du Turc Aziz Nessin, Et-Teffah, Arlequin valet de deux maîtres d’après Carlo Goldoni (Oran, Les 3 pommes, 2011)
– Malek Alloula, Approchant du seuil ils dirent (Neuilly, Al-Manar, 2010)
– Chawki Amari, Ali Bécheur, Y. B., Aziz Chouaki, Kamel Daoud, Wahiba Khiari, Rachid Mokhtari, Minna Sif, Scandale(s) (Alger, Chihab, 2010)
– Ghanima Ammour, Mémoires de mes automnes (Damville, Apopsix, 2011)
– Mohamed-Laïd Annane, La Destruction des tribus, chroniques d’Algérie (1838-1847) (Alger, ANEP, 2010)
– Wolfgang Asholt, Mireille Calle-Gruber, Dominique Combe (Edité par), Assia Djebar. Littérature et transmission (Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2010)
– Tomas Augais, Mireille Hilsum et Chantal Michel (dir.), Ecrire et publier la guerre d’Algérie. De l’urgence aux résurgences (Paris, Kimé, 2010)
– Salim Bachi, Amours et aventures de Sindbad le marin (Paris, Gallimard, 2010)
– Salim Bachi, Le Grand frère (Paris, Editions du Moteur, 2010)
– Fatema Bakhaï, Izuran II, les enfants d’Ayye (Alger, Alpha, 2010)
– Nicolas Bancel, Florence Bernault, Pascal Blanchard, Ahmed Boubeker, Achille Mbembe, Françoise Vergès (dir.), Ruptures postcoloniales - Les nouveaux visages de la société française (Paris, La Découverte, 2010)
– Pierre-Philippe Barkats, Ô Biskra, une enfance algérienne (Paris, Balland, 2010)
– Djilali Bencheikh, Beyrouth Canicule (Tunis, Elyzad, 2010)
– Mohamed Benchicou, Le dernier soir du dictateur (Paris, Riveneuve, 2011)
– Slemnia Bendaoud, Reflets, (Paris, Edilivre, 2011)
– Slemnia Bendaoud, Mohamed Moulessehoul : l’autre Yasmina Khadra (Paris, Edilivre, 2010)
– Djamila Benhabib, Ma vie à contre Coran (Alger, Koukou, 2010)
– Karima Berger, Rouge Sang Vierge (Neuilly, Al Manar, 2010)
– Jordane Bertrand, Histoire des indépendances africaines et de ceux qui les ont faites (Paris, Afromundi, 2010)
– Bernard du Boucheron, Salaam la France (Paris, Gallimard, 2010)
– Pierre Bourdieu, Sociologie de l’Algérie (Rééd., Paris, PUF, 2010)
– Rachid Boudjedra, Hôtel Saint-Georges (Paris/Alger, Grasset/Barzakh, 2011)
– Isabelle Bournier, Des hommes dans la guerre d’Algérie (Paris, Casterman, 2010)
– Denise Brahimi, 50 ans de cinéma maghrébin (Alger, Chihab, 2010)
– Raphaëlle Branche, L’Embuscade de Palestro ; Algérie 1956 (Paris, Armand Colin, 2010) - Jacqueline Brenot, La Dame du Chemin des Crêtes : Alger, Marseille, Tozeur (Paris, L’Harmattan, 2010)
– Sylvie Brunel, Le Voyage à Timimoun (Paris, Jean-Claude Lattès, 2010)
– Laetitia Bucaille, Le Pardon et la rancœur. Algérie/France, Afrique du Sud : peut-on enterrer la guerre ? (Paris, Payot, 2010)
– Bruno Callies de Salies, Le Grand Maghreb contemporain. Entre régimes autoritaires et islamistes combattants, Préface Alain Gresh (Paris, Jean Maisonneuve, 2010)
– Olivier Chartier, Les Ombres de Boufarik (Paris, Flammarion 2010)
– Christiane Chaulet-Achour (Dir.), Itinéraires intellectuels entre la France et les rives sud de la Méditerranée (Paris, Karthala, 2010)
– Christiane Chaulet-Achour (dir.), en collaboration avec Corinne Blanchaud, Dictionnaire des écrivains francophones classiques. Afrique sub-saharienne, Caraïbe, Machrek, Maghreb, Océan indien (Paris, Honoré Champion, 2010)
– Christiane Chaulet Achour, Gouverneurs de la rosée de Jacques Roumain. La pérennité d’un chef d’œuvre (Paris, L’Harmattan, 2010)
– Stéphane Chaumet, Même pour ne pas vaincre (Paris, Le Seuil, 2011)
– Fatima Cherfa-Turpin, La condition juridique de la femme rurale en Kabylie (Damville, Apopsix, 2010)
– Achour Cheurfi, La Presse algérienne. Genèse, conflits et défis (Alger, Casbah, 2010)
– Aziz Chouaki, Chez Mimi (Paris, Les Cygnes, 2010)
– Isabelle Clarke, Daniel Costelle, La Blessure. La Tragédie des Harkis (Paris, Acropole, 2010)
– Collectif, Au nom du peuple : le procès de la Ligue des droits de l’homme (Cour de sûreté de l’Etat, décembre 1985) (Alger, Koukou, 2011) [1ère éd., Paris, Imedyazen/CCRA, 1986]
– Jean-Jacques Deluz, Le Tout et le fragment (Alger, Barzakh, 2010)
– Nadir Dendoune, Un tocard sur le toit du monde (Paris, Jean-Claude Lattès, 2010)
– Séverine Dessajan, Nicolas Hossard, Elsa Ramos, Immigration et identité nationale : une altérité revisitée (Paris, L’Harmattan, 2010)
– Ahmed Djebbar, Salah Guemriche, Abdelmadjid Kaouah, Salah Stétié, Arabes en/de France (Portet sur Garonne, Loubatières, 2010)
– Abdelkader Djemaï, Gare du Nord / Camping / Le Nez sur la vitre (Alger, Barzakh, 2010)
– Abdelkader Djemaï, Zorah sur la terrasse (Paris, Le Seuil, 2010)
– Mohamed Dhorban, Les Neuf jours de l’inspecteur Salaheddine (Alger, Arak, 2011)
– Nabil Farès, Il était une fois l’Algérie (Tizi Ouzou, Achab, 2011)
– Fellag, Le Mécano du vendredi, Illustré par Jacques Ferrandez (Paris, Jean-Claude Lattès, 2010)
– Alice Ferney, Passé sous silence (Arles, Actes Sud, 2010)
– Jérôme Ferrari, Où j’ai laissé mon âme (Arles, Actes Sud, 2010)
– Nathalie Funès, Mon oncle d’Algérie (Paris, Stock, 2010)
– Daniel Goetsch, Ben Kader (Vevey, L’Aire, 2010)
– Martine Gozlan, Tunisie, Algérie, Maroc. La colère des peuples (Paris, Archipel, 2011)
– Larbi Graïne, Algérie, naufrage de la fonction publique et défi syndical (Paris, L’Harmattan, 2010)
– Hamid Grine, Un parfum d’absinthe (Alger, Alpha, 2010)
– Salah Guemriche, Le Christ s’est arrêté à Tizi-Ouzou. Essai-enquête sur les conversions en terre d’islam (Paris, Denoël, 2011)
– Salah Guemriche, Abd er-Rahman contre Charles Martel (Paris, Perrin, 2010)
– René Guitton, En quête de vérité. Le martyre des moines de Tibhirine (Paris, Calmann-Lévy, 2011)
– Brahim Hadj Slimane, Les Années noires du journalisme en Algérie (Paris, Editions du Cygne, 2010)
– Brahim Hadj Slimane, Baghdad, Boumerdès(Paris, Editions du Cygne, 2010)
– Nora Hamdi, La couleur dans les mains (Paris, Léo Scheer, 2011)
– El Hadi Hamdikène, Solitudes, texte de Abderrahmane Djelfaoui (Alger, Lazhari Labter, 2010)
– Mohammed Harbi, Les archives de la Révolution algérienne (Alger, Dahlab 2010)
– Mohammed Harbi, Benjamin Stora, La Guerre d’Algérie (Rééd., Paris, Fayard-Pluriel, 2010)
– Jane Hiddleston, Assia Djebar : Out of Algeria (Rééd., Liverpool University Press, 2011)
– Eric Kannay et Olivier Lorelle, Hors-la-loi (Paris, Perrin, 2010)
– Yasmina Khadra, La Longue nuit d’un repenti (Paris, Editions du Moteur, 2010)
– Saïd Khatibi, Aârrasou Ennar [Cérémonies de feu] (Alger, El Beyt, 2010)
– Abderrahmane Khelifa, Cirta Constantine, la capitale céleste (Alger, Colorset, 2011)
– KPMG, Guide Investir en Algérie (Alger, KPMG, 2010)
– Séverine Labat, La France réinventée (Paris, Publisud, 2010)
– William Langewiesche, Sahara dévoilé : un voyage à travers le désert (Sahara Unveiled : A Journey Across the Desert), Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Isabelle de Catalogne, avec la collaboration de Rob Conrath (Marseille, Vagabonde, 2010)
– Olivier Le Cour Grandmaison, De l’indigénat. Anatomie d’un « monstre » juridique : le droit colonial en Algérie et dans l’Empire français (Paris, La Découverte, 2010)
– Catherine Lépront, Le Beau visage de l’ennemi (Paris, Le Seuil, 2010)
– Françoise Lorcerie (dir.), Pratiquer les frontières - Jeunes migrants et descendants de migrants dans l’espace franco-maghrébin (Paris, CNRS Editions, 2010)
– Virginie Lydie, Traversée interdite ! Les harragas face à l’Europe forteresse (Paris, Le Passager clandestin, 2011)
– Hocine Malti, L’Histoire secrète du pétrole algérien (Paris, La Découverte, 2010)
– Gilles Manceron, Benoît Falaize, Fatima Besnaci-Lancou, Les Harkis, histoire, mémoire et transmission (Sous la dir. de) (Paris, L’Atelier, 2010)
– Bernard Marrey, Fernand Pouillon, l’homme à abattre (Paris, Editions du Linteau, 2010)
– Claire Mauss-Copeaux, Le 20 août 1955 en Algérie, insurrection, répression, massacres (Paris, Payot-Rivages, 2010)
– Laurent Mauvignier, Des hommes (Alger, Barzakh, 2010)
– Mark McKinney, The Colonial Heritage of French Comics (Liverpool University Press, 2011)
– Smaïl Medjeber, La Grande poubelle. Journal d’un détenu politique en Algérie (Paris, L’Harmattan, 2011)
– Arezki Mellal, Maintenant, ils peuvent venir (Rééd., Alger, Barzakh, 2011)
– Constantin Melnik, De Gaulle, les services secrets et l’Algérie (Paris, Nouveau Monde, 2010)
– Hassan Mermouri, Les Touareg entre pouvoir traditionnel et administration française au début du XXe siècle (Alger, Conseil supérieur de la langue arabe, 2010)
– Arezki Metref, Roman de Kabylie (Tizi Ouzou/Velle Le Chatel, Sefraber, 2010)
– Malika Mokeddem, La Désirante (Paris, Grasset, 2011)
– Ahlam Mosteghanemi Mémoire de la chair (Rééd., Alger, Sédia, 2010)
– Fadéla Mrabet, Alger, un théâtre de revenants (Paris, Riveneuve, 2010)
– Fadéla Mrabet, Une femme d’ici et d’ailleurs (Paris, Riveneuve, 2010)
– Anne-Marie Nahlovski, La Femme au livre. Les écrivaines algériennes de langue française, Préface de Beïda Chikhi, (Paris, L’Harmattan, 2010)
– Samira Negrouche, Le Jazz des oliviers [Poésie], Œuvres d’Yves Olry (Blida, Éditions du Tell, 2010)
– Cécile Oumhani, Plus loin que la nuit (Montpellier, Chèvre Feuille étoilée, 2011)
– Pierre-Henri Pappalardo, Bienvenue à Alger. Quand les hommes se retrouvent (La Tour d’Aigues, L’Aube, 2011)
– Petit Futé, Guide Algérie (Paris, Petit Futé, 2010)
– Jean-Louis Planche, Sétif 1945. Chronique d’un massacre annoncé (Paris, Perrin, 2010)
– Henry Quinson, Secret des hommes, secret des dieux (Paris, Presse de la renaissance, 2011)
– Boualem Rabia, Florilège de poésies kabyles [français-berbère] (Tizi Ouzou, L’Odyssée, 2010)
– Rayhana, Le Prix de la liberté (Paris, Flammarion, 2011)
– Malika Rahal, Ali Boumendjel (1919-1957) : Une affaire française, une histoire algérienne (Paris, Les Belles Lettres, 2010) (Alger, Barzakh, 2011)
– Suzanne Ruta, To Algeria, With Love (London, Virago Press, 2011)
– Saïd Sadi, Amirouche, une vie, deux morts et un testament (Tizi Ouzou, Ed. de l’auteur, 2010) (Paris, L’Harmattan, 2010)
– Jean-Charles Scagnetti. L’Aventure Scopitone 1957-1983. Histoire des précurseurs du vidéo-clip (Paris, Autrement, 2010)
– Yann Scioldo-Zürcher, Devenir métropolitain. Politique d’intégration et parcours de rapatriés d’Algérie en métropole, 1954- 2005 (Paris, EHESS, 2010)
– Leila Sebbar, Shérazade, 17 ans, brune, frisée, les yeux verts (Rééd., Saint Pourçain sur Sioule, Bleu autour, 2010)
– Leïla Sebbar, L’arabe comme un chant secret (Rééd., Saint Pourçain sur Sioule, Bleu autour, 2010)
– Leïla Sebbar, Jean-Claude Gueneau, Nora Aceval, Aflou, djebel Amour (Saint Pourçain sur Sioule, Bleu autour, 2010)
– Leïla Sebbar, Jean-Claude Gueneau, Nora Aceval, Femmes d’Afrique du Nord - Cartes postales (1885-1930) (Rééd., Saint Pourçain sur Sioule, Bleu autour, 2010)
– Benjamin Stora, Le nationalisme algérien (Paris, CNRS, 2010)
– Benjamin Stora, Algérie 1954. Une chute au ralenti (La Tour d’Aigues, L’Aube-Poche, 2011)
– Benjamin Stora, La Guerre des mémoires. La France face à son passé colonial, Entretiens avec Thierry Leclère (La Tour d’Aigues, L’Aube-Poche, 2011)
– Benjamin Stora, Bibliographie de l’Algérie depuis l’Indépendance (Paris, CNRS, 2011)
– Benjamin Stora, Le Mystère de Gaulle (Rééd., Alger, Sédia, 2010)
– Benjamin Stora, La Gangrène et l’oubli (Rééd., Alger, Sédia, 2010)
– Benjamin Stora, Tramor Quemeneur, Lettres, récits, et carnets des Français et des Algériens pendant la guerre d’Algérie (Paris, Les Arènes, 2010
– Benjamin Stora et François Malye, François Mitterrand et la guerre l’Algérie (Paris, Calmann-Lévy, 2010)
– Wassyla Tamzali et Claude Ber, Burqa ? (Montpellier, Chèvre-feuille étoilée, 2010)
– Michèle Tribalat, Les Yeux grands fermés. L’Immigration en France (Paris, Denoël, 2010)
– Garry Wills, Augustine’s Confessions. A biography (Princeton University Press, 2011)
– Catherine Wihtol de Wenden, La Question migratoire au XXIe siècle (Paris, Les Presses de Sciences Po, 2010)
– Zahia Ziouani, La chef d’orchestre (Paris, Anne Carrière, 2010)
Aucune
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