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  Saadia Souyah

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"Danseuse orientale depuis 1986, dit sa biographie, Saadia Souyah quitte le cabaret en 1995. Elle collabore quatre ans avec Hassan Gharbia, danseur tunisien à l’origine d’une barre au sol développée à partir des arts extrême-orientaux, puis se rend en Norvège afin d’y mettre en oeuvre et d’y enseigner une méthode pédagogique adaptée aux danses arabes et berbères."
Avec Nissa qui signifie femmes en arabe, la danseuse et chorégraphe interroge sa culture pour nous introduire dans l’intimité et le silence d’une femme cloîtrée, entre réminiscences arabo-andalouses et flûte berbère.



 7 mars 2018, "Intimidantes Intimités", rencontre, projection, performance, avec Dalila Alaoui (artiste-plasticienne), Zoulikha Bouabdellah (artiste-plasticienne), Ammar Bouras (artiste-photographe-vidéaste), Nouria Gründler (psychanalyste), Aymeric Ebrard (artiste-plasticien), Fatima Mazmouz (artiste-plasticienne), Isabelle Plat (artiste-plasticienne), Kahena Sanaâ (plasticienne et chercheuse), Adrien Sina (curateur et historien de l’art), Saadia Souyah (danseuse et chorégraphe), Paris / La Colonie
 20 mai 2017, Montpellier / Domaine d’O / Théâtre JCC / Festival Arabesques
 6 février 2016, "Les Rendez-vous de la danse, Paris / Institut du monde arabe

Nouba de femmes
Chorégraphie : Saâdia Souyah


 18 avril 2003, Studio du Centre national de la Danse, 15, rue Geoffroy-l’Asnier, Paris 4è, Tel. : 33 (0)1 42 74 44 22



Nissa
Chorégraphie et interprétation : Saadia Souyah
Direction artistique : Saïda Naït-Bouda
Chant arabo-andalou : Saadeddine El Andaloussi
Musique berbère : Saïd Nissia, Hakim Kerdgou



Sous la forme d’une carte blanche ensuite, une session destinée à des professionnels devait leur permettre de découvrir les fondamentaux de deux danses : "la danse oranaise (Ouest du pays) se caractérise par une vibration continue des épaules, un fort déhanchement latéral et des balancements du bassin créant des mouvements de ventre très accentués. La danse de la jument (Reksset El-Khil) est née, quant à elle, d’une légende de la région de Aïn Beïda à l’est du pays. Jalouse de l’amour porté par son époux à sa jument, une femme la défie en une expression aussi fougueuse et spectaculaire que celle de sa rivale."
Outre Saadia Souyah, devaient également intervenir Habib Yammine (initiation au rythme) et l’anthropologue Brahim Bahloul. (photo © J. C. Storck)



 7 - 18 avril 2003
www.cnd.fr

 


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